Tony Stark, inventeur de génie, vendeur d'armes et playboy milliardaire est kidnappé à l'étranger. Forcé par ses ravisseurs à fabriquer une arme redoutable, il construit en secret une armure hi-tech révolutionnaire qu'il utilise pour s'échapper. Comprenant la puissance de cette armure, il décide de l'améliorer et de l'utiliser pour faire régner la justice et protéger les innocents.
Based on a novel by Gene Brewer, K-PAX works best as an adult drama of self-discovery, blessed by the talents of costars Jeff Bridges and Kevin Spacey. Bridges plays Manhattan psychiatrist Mark Powell, who thinks he's seen it all until he's assigned to analyze Prot (Spacey), a psychiatric patient who claims to be from a distant planet called K-PAX. Powell is convinced that Prot is a convincing delusional, but his cynicism turns to open-minded fascination as Prot's case reveals a combination of otherworldly insight and all-too-human trauma, prompting an earthbound explanation for Prot's allegedly alien origins. As directed by Ian Softley (Wings of the Dove), this curiously engrossing drama allows Spacey to create a provocative and humorously eccentric enigma, while Bridges superbly conveys his character's compassionate empathy. Their finely shaded performances raise K-PAX above the forced ambiguity of its ending, which is both thought-provoking and vaguely anticlimactic.
Quelques années après l'envoi dans l'espace d'une sonde spatiale porteuse de messages de paix vers d'éventuels extra-terrestres, un engin suspect s'abat au-dessus d'une forêt américaine. Son passager, amical visiteur de l'espace, se réfugie chez une jeune veuve et prend l'apparence de son défunt mari.
Flynn, ex-programmeur informatique aigri, est vite devenu une star des salles de jeu ; ça tombe plutôt bien, car son ex-boss, soucieux de protéger un secret, se sert un beau jour d'un prototype expérimental pour dématérialiser le pauvre Flynn et l'envoyer à l'intérieur du système informatique de l'entreprise, où il ne devra son salut qu'à sa dextérité aux jeux vidéo... Succès mitigé à sa sortie en salle, ce spectacle d'avant-garde a gagné peu à peu son titre mérité de film culte ; spectacle d'une grande beauté visuelle, véritable tour de force technologique réalisé à l'époque des balbutiements de l'image de synthèse, Tron a bénéficié d'un scénario véritablement innovant, de l'apport esthétique d'artistes et de designers de talent (dont le Français Moebius), et doit en grande partie son succès à son ambiance unique, mélange de contemplation silencieuse et d'action haletante (la fameuse séquence de la course à moto) dans un univers tout en néons et en figures géométriques colorées. Le DVD était attendu depuis longtemps mais cela en valait la peine : plusieurs heures de bonus sont au rendez-vous, du documentaire d'une heure et demie aux making-of des effets spéciaux en passant par les commentaires et autres galeries de photos.
Before John Hughes claimed the mantle of Hollywood's antichrist, that title was firmly held by producer Dino De Laurentiis, whose middle name may have been hubris. He vowed that this remake of the 1933 horror classic would be a bigger hit than Jaws and that his Kong would be more sympathetic than the shark. But for all the money he spent on trying to make this monkey look real, the biggest special effect was making Jeff Bridges look like a monkey--and nearly destroying Jessica Lange's acting career before it started. The film was noteworthy mostly for how cheesy the ape looks, though this was one of the first films to be shot at the then-new World Trade Center. Even Charles Grodin, as the villainous promoter, can't get laughs in this idiotic film.